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La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
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Traces, Niki de Saint Phalle, La Différence, 176 p., 30 euro.
Harry et moi, Niki de Saint Phalle, La Différence, 134 p., 30 euro.


Je ne fais pas partie des admirateurs sans réserves de l 'oeuvre plastique de Niki de Saint Phalle. Mais ces deux livres m'ont absolument enchanté. Ils m'ont vraiment déduit. La raison en est simple : son style infantile, qui n'a fait que se renforcer à la fin de son existence, a ici une autre connotation puisqu'il s'agit de souvenirs d'enfance ou de la vie familiale. Alors ses dessins colorés, ses collages, ses lettres manuscrites, sa manière de dessiner ses petites bonnes femmes amusantes, entre le pastiche pin up et la bande dessinée, la manifestation naïve de son univers personnel, tout cela possède sa cohérence et a sa magie particulière. Le première volume parle surtout de ses toutes jeunes années, de ses parents, de ses grands-parents, de son oncle, de son frère Jean , mais aussi rapporte des histoires fantastiques, qui l'ont enchantée ou effrayée, comme celle du lierre empoisonné. Elle fait le récit de ses premiers voyages, de ses premiers films. Le séjour aux Etats-Unis est un des moments cruciaux de ses aventures enfantines. La manière dont elle raconte la guerre est vraiment amusante, même si le sujet ne l'est pas : mais c'est la guerre vue à travers les yeux et l'esprits d'une gamine. Et elle grandit. Elle commence à se rebeller contre sa mère. Toutes sortes de sujets sont l'occasion d'une histoire ou d'un dessin ou des deux à la fois. Elle s'interroge sans cesse et se demande si elle n'est pas trop différente des autres. Et écrit une lettre au bon dieu. Oualors, elle devient le metteur d'une pièce, ce qui lui permet de manifester sa création bouillonnante. Elle commence à songer au mariage et se demande qui pourrait être le prétendant idéal... A mesure que le temps asse, l'image de sa mère et de son père change. Et elle se demande toujours plus s'il n'y a pas quelque chose de détraqué dans sa tête. C'est l'après-guerre, le retour en France, les premiers émois. Elle évoque sa petite carrière de mannequin mais songe déjà à la création artistique. Elle rencontre un homme qu'elle aime, Harry Matthews. Et elle l'épouse. Ainsi s'achève le premier volume. Dans le second tome, elle s'attache à illustrer dix années de mariage avec Harry. Là, le texte est plus développé et le style est tout autre. Il y a bien un côté midinette qui est charmant d'autant plus que l'auteur ne manque jamais d'humour. Mais les illustrations qu'elle s'invente sont toujours aussi savoureuses. Elle nous fait découvrir des petits tableaux et des collages. Elle met aussi en exergue les propos de Harry, sa perception de l'univers et ses convictions. Là aussi, sous cette autre forme, c'est d'une drôlerie irrésistible. En somme, pas grand monde n'a fait une autobiographie aussi riche et plaisante -, sans le moindre tabou.




Van Gogh, l'uomo et la terra, sous la direction de Kathleen Adler, Palazzo Reale/24 Ore Cultura, s. p., version italienne : 40 euro ; version anglaise : 34 euro.

Le titre de l'exposition n'a rien de fracassant et pour un artiste qui a tant aimé le paysage. Mais, en réalité, il y a là-dessous un dessein politique de la ville de Milan : l'an prochain aura lieu l'Exposition universelle. Son thème est : la nourriture. Alors Van Gogh annonce la couleur ! En réalité, l'exposition est assez pauvre et repose sur un accord avec le Kröller-Müller Museum d'Otterlo. Rien de mal en soi, mais il n'y a en tout et pour tout que quarante-sept oeuvres, dessins compris. Pour ce qui est du catalogue, la mise en page est affreuse et quelques textes sont discutables, surtout celui de Cormelia Hombourg, « Entre le Japon et Rembrandt : Van Gogh à Arles. L'auteur de la Ronde de nuit doit se retourner dans sa tombe. Comparer l' Homme habillé en oriental de 1635 de Rembrandt avec l'Autoportrait en bonze de 1888 de Van Gogh me paraît du plus haut comique ! De ses débuts, on peut découvrir Les Bûcherons (1883-1884), Après l'Orage (1884), Les Paysans plantant les pommes de terre, et les célèbres Mangeurs de pommes de terre, mais seulement sous l'espèce d'une lithographie, plusieurs têtes de femmes de la campagne (1885) et des Femmes recueillant les pommes de terre (1885), une Cabane avec un paysan rentant chez lui de la même année. Le plus intéressant de cet ensemble sont sans aucun doute les natures mortes avec les Nids d'oiseau et la Nature morte aux pommes et potirons. Pour le reste, il ne faut miser que sur un Autoportrait (1887), la Nature morte avec une statuette et des livres et la Nature morte aux pommes de terre (1888), la corbeille aux citrons (1888), deux paysages encore, , des Femmes bretonnes (d'après Emile Bernard) (1888), la Nature morte avec un plat d'oignons, le célèbre Portrait de Joseph Roulin (1889) er le Paysages aux meules de blé avec le soleil couchant , l'Oliveraie, le Jardin d'Auvers-sur-Oise (1890) et une tête de jeune femme rarement montrée. En gros voilà de quoi il s'agit. Ce gros catalogue nous fera découvrir quelques belles natures mortes peu montrées. Ce ne semble pas ni un instrument de travail ni de plaisir d'une haute portée. Surtout pour un peintre aussi célèbre et reproduit que Van Gogh !




Rire ou ne pas rire, Virginia Woolf, édition et traduction de l'anglais par C. Marie, N. Pavec & A.-M. Rigearde, préface d'A.-M. Rigearde, Editions de la Différence, 240 p., 22 euro.

Je ne cesse de le répéter : il est indispensable de publier l'intégralité des essais de Virginia Woolf ! Ce livre représente un nouveau pas dans cette direction, puisqu'on y découvre des textes inédits. Les auteurs de cette édition ont voulu miser sur la notion d'humour. Je crois que c'est une erreur. L humour n'est pas le propre de cet écrivain. L'esprit, la finesse, la légèreté, l'originalité d'un point de vue, et bien d'autres qualités peuvent lui être attribuées. Mais certainement pas l'humour. Sans doute que cette équipe a-t-elle trouvé que c'était une idée à exploiter. Mais moi, en lisant par exemple, les merveilleux billets sur l'automobile ou sur l'aquarium, je songe plutôt aux beaux textes qu'elle a pu écrire sur Londres (Christian Bourgois éditeur). C'est enlevé et cela démontre sa capacité de rendre une pensée avec rapidité et avec ce que les allemands appellent le wit. Je ne sais pas d'où l'auteur de la préface tient le fait que la romancière n'aimait pas le journalisme. Elle en a fait toute sa vie, mais du journalisme littéraire pour l'essentiel, ce qui paraît normal. En revanche, j'ai beaucoup aimé le choix des compte rendu : ils parlent tous de livres qui avaient peut-être un écho à l'époque mais qui sont tombés dans les plus profondes oubliettes ! Ces chroniques me font pensées aux longues digressions de Jules Barbey d'Aurevilly sur les pièces de théâtre dépourvues du moindre intérêt qu'il devait aller voir pour gagner trois sous. Et comme il fallait tirer à la ligne (car on était payé à la ligne à l'époque), eh bien, il imaginait une foule de choses insensée avec une magistrale inventivité. Avec ironie et une pointe de sarcasme parfois, elle a décortiqué ces ouvrages sans saveur ni parfum. C'est vrai qu'on s'amuse à les lire, d'autant plus qu'on n'a plus aucune référence sur les plumitifs concernés. Mais c'est un humour provoqué par la distance temporelle. Je pense que Virginia Woolf, qui n'était pas l'être éthéré qu'on aime à nous décrire (ce que prouve son intense activité d'éditeur pour The Hogarth Press, la maison d'édition qu'elle a créée avec son mari Leonard, ne rechignant pas devant les plus basses tâches matérielles) et son activité de chroniqueuse, tout aussi intense. Virginia Woolf, contrairement à ce qui est affirmé dans la préface, aimait le journalisme car c'était pour elle un exercice excellent et aussi un moyen d 'échapper à la tyrannie de l'oeuvre à venir. Quoi qu'il en soit, il ne compte qu'une chose : la valeur des pièces d'écriture qu'on trouve dans cette petite anthologie : qui n'a pas lu l'article sur le cinéma ou sur les excentriques ne la connaît pas vraiment ! C'est un beau recueil. Mes réserves ne concernent que la présentation des choses.




Les Chiens du rideau de fer, Marie-Luise Scherer, préface de Paul Nizon, traduit de l'allemand par Mathieu Dumont, Actes Sud, 96 p., 13 euro.

L'idée de départ du livre est de fournir une métaphore puissante et originale à ce que fut l'Allemagne divisée en deux pendant la « Guerre froide ». L'auteur a voulu raconter la vie peu enviable des chiens qui montait la garde dans le no man's land entre l'Est et l'Ouest. Elle décrit avec une minutie obsessionnelle ce que devait subir ces berges allemands et, au-delà de leur triste destin, tout ce qu'il pouvait représenter symboliquement pour les habitants de Berlin, surtout pour les familles séparées. Il est indéniable qu'on pris par le récit de Marie-Luise Scherer, qui sait jouer sur la fibre sensible du lecteur. Peut-être trop d'ailleurs. Je nierai pas le caractère dramatique de ce qui s'est passé pendant ces décennies et elle est assez habile pour faire de ces animaux dressés pour tuer des Cerbères modernes, mais qui sont eux aussi des victimes. La fin, avec la fonte des glace et la noyade des pauvres bêtes (qui vous auraient dévoré tout cru !) est sans doute un peu forcée (quand bien même serait-elle authentique). En somme, voilà un livre avec un sujet intéressant et traité avec talent, mais qui a pour seul défaut de vouloir faire ce que font les médias modernes : imaginer un sujet qui bouleverse l'opinion publique.




Improvisations sur Michel Butor, Michel Butor, « Minos », Editions de la Différence, 320 p., 15 euro.

Excellente idée que celle d'avoir extrapolé cet ouvrage des pondéreuses oeuvres complètes de l'auteur de la Modification pour en faire un ouvrage autonome et de consultation aisée. Ces pages sont curieuses car l'écrivain a écrit une autobiographie en coupe réglée (son enfance, le lycée, la période de la guerre jusqu'à son entrée en littérature après la Libération, et ce qui s'en suit, tout en racontant son aventure d'écrivain, celle de la période « héroïque » du Nouveau Roman, et puis celle de la poésie, des Répertoires et d'une oeuvre créative et critique considérable. En somme, nous savons tout ce que nous devons savoir sur cette personne et sur l'immense travail accompli. On y retrouve ses qualités indiscutables et puis ses défauts -, son côté touche-à-tout, sa boulimie d'écriture, l'ambiguïté de sa posture entre la création d'avant-garde et l'université qui lui a offert un sacré garde-fou. J'ai eu toujours eu pour Butor un sentiment partagé et je l'ai encore. Mais je dois reconnaître qu'il a écrit ces dernières années des ouvrages remarquables, comme son étude sur Balzac ou ce qu'il a pu dire d'Eugène Delacroix. En somme, avec ces Improvisations, tout un chacun peut le découvrir et comprendre d'abord ce qui l'a animé dans la poursuite de sa cause littéraire, avec ses hauts et ses bas. C'est un beau livre, sincère et sans les horripilantes coquetteries des gens de lettres. Enfin, il ne me faut oublier de dire qu'il apporte des explications sur la conception de ses livres qui sont remarquables.




Nadia Fakhoury, portrait et méditation, Jacqueline Germé, EDlivre, 14 p., 8 euro.
Le Guéridon vintage du Café de Flore, Jacqueline Germé, EDLivre, 16 p., 8 euro.


Jacqueline Germé s'est spécialisée dans la publication de textes très courts, mais d'une grande intensité. Elle aime prendre un ton désinvolte et comme c'est une grande passionnée de la mode (dans le sens le plus strict, mais aussi dans le sens le plus large), elle brosse des portraits de personnages qu'elle apprécie au plus haut point ou dépeint des lieux avec une étrange contradiction : ce serait une esquisse élaborée avec le plus grand soin. Quand on lit ce qu'elle dit de Nadia Fahroury, une photographe de talent qui a été inspirée à ses début par Robert Mapplethorpe c'est tout l'inverse d'une biographie faite dans les règles de l'art, et c'est même l'inverse d'un cliché qui a été préparé avec soin comme ceux que l'ont faisait pour les vedettes du cinéma au Studio Harcourt. Ce n'est une succession de notations sur la personne choisie qui finit, d'association en association, par constituer un portrait qui semble une sculpture : il y a un volume et aussi l'essentiel des facettes du sujet. Quand à ce qu'elle a pu écrire sur le vieux café de Flore, qui a vu devant ses guéridon tant de grands auteurs et de grands artistes, de Guillaume Apollinaire à Pablo Picasso, en passant par André Breton, Louis Aragon, Philippe Soupault et tant d'autres, c'est un petit bijou ! C'est une belle rêverie qui nous ramène au jour d'aujourd'hui, où elle, Jacqueline Germé, vient rêver toute éveillée devant l'un de ces guéridons surannés.
Gérard-Georges Lemaire
30-10-2014
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