LE PARADOXE DE LA PASSION
ou « je te suis, tu me fuis, je te fuis, tu me suis »
par Esther Ségal
Epilogue
L’écrivain et la photographie partagent ce même élan… celui d’inscrire la vie, le temps, l’histoire, la beauté et la vérité. Humaniste, l’écrivain et le photographe le sont. Au point d’exhumer non seulement la racine Jabessienne de Derrida mais aussi la magie qui entoure l’acte de créer. Tandis que le stylo glisse sur la surface plane du papier, l’œil du photographe glisse sur la courbe du monde. Inlassablement, il rassemble les parcelles de vie disséminées tout autour de nous. On peut se demander si un jour, tous ces fragments formeront un âge d’or de la photographie ?
Une chose est certaine, l’image… l’i-mage porte encore en elle, la promesse de cadeaux à venir pour le plus grand plaisir de nos yeux.
Esther SÉGAL
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