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  [verso-hebdo]
08-07-2024

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Jean Nocret, un peintre oublié du XVIIe siècle français.

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

L'Egypte des pharaons, texte de Félix Relats Montserrat, Hazan / Atelier des lumières, 120 p., 22 euro.

Vous ne savez pas beaucoup de choses sur l'Egypte antique ? Ce livre vous offre une initiation surtout iconographique de cette culture qui a duré quelques 4.000 ans. Le néophyte y pourra découvrir les signes du pouvoir, les divinités, les hiéroglyphes peints en couleurs, et surtout cette extraordinaire obsession de la vie au-delà de la mort. C'est la part dominante des arts sous toutes leurs formes-concernent des arts, qui a été très tôt d'une incroyable richesse, et, par conséquent de l'iconographie religieuse. Cependant, les pharaons ont tenu a faire graver dans pierre ou peindre sous forme de hiéroglyphes le récit de leur règne (Ramsès II a sans doute été le plus soucieux de cette narration qui fait son éloge. Il serait bien difficile de ne pas succomber à la beauté, à la richesse et à la singularité de toutes ces créations qui s'est même poursuivie après la conquête de l'Egypte par Alexandre le Grand. Il faut attendre que cet empire tombe aux mains de Rome pour que cette culture décline et soit ensuite condamnée et donc abandonnée par les chrétiens. Après la conquête de Bonaparte, l'intérêt pour l'égyptologie connaît un essor incroyable. Les archéologues ont réussi à trouver les chambres funéraires des grands rois, mais la plupart avaient été pillées depuis longtemps par les pilleurs de tombes. La découverte par Carter du tombeau de Toutankhamon a permis de prendre la mesure de la richesse immense des mobiliers funéraires. Et les peintures qui ont pu être retrouvées ont dévoilé la vie terrestre des Egyptiens, de leurs souverains, mais aussi de leur peuple Si cet album n'apprendra pas beaucoup à ceux qui ont de bonnes connaissances de cette civilisation, il saura donner une vision éblouissante de ce monde révolu qui n'a plus jamais cessé de nous subjuguer.




Domaine public. Seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. François Barré, Editions du Regard, 336 p., 23 euro.

François Barré a été une des figures omniprésentes du microcosme culturel parisien. Jeune énarque, il a travaillé peu de temps au ministère des Affaires étrangères. Très vite il a choisi l'indépendance d'esprit et a voulu se consacrer à l'intervention artistique dans nos cités. Son parcours est constitué d'un de rencontres plus ou moins fortuites, d'opportunités et aussi de force de volonté car il a renoncé à la sécurité d'un poste fixe. Son parcours est par conséquent singulier, lié à des rencontres avec des personnages importants de la vie culturelle française. Il ne dissimule pas ses échecs qui sont, forcément, nombreux étant donné son statut. Il est parvenu à travailler avec François Mathey, à l'époque où le CCI n'était pas encore inclus dans la préfiguration du nouveau centre artistique qui va devenir le centre Pompidou.
Son amitié avec François Mathey est très fructueuse, mais il ne lui succède pas quand ce dernier décide de ne pas prendre la direction de cette nouvelle institution dont on cherche encore la localisation (il était question de la rattacher au musée des Arts décoratifs). Pendant toute cette période d'exploration, il a connu un grand nombre de responsables de l'architecture et du design. Ainsi que des responsables des musées. Quand il décrit ses menées aventureuses dans ce domaine, nous découvrons toute une époque et aussi la construction du Centre Pompidou et de ses diverses constituantes.
Les élections de 1981 le font se rapprocher de François Mitterrand et de Jack Lang. Ce dernier lui demande collaborer au développement de la Grande Halle de La Villette. Notre auteur développe beaucoup l'histoire de la constitution du parc de la Villette. Il signale une chose peu connue : ce développement la mort de la Biennale de Paris, qui a été l'un des événements les plus intéressants de cette période. C'est un grand dommage, d'autant plus que rien n'a su le remplacer en dépit d'efforts sporadiques et peu fructueux.
Il entre un temps à la Délégation aux Arts Plastiques, puis il est nommé à la tête du Centre Pompidou par Jacques Toubon, à sa plus grande surprise. Il n'a pas conservé de cette expérience un souvenir ébloui. Il dépeint en détail ses difficultés et aussi les projets qu'il a espéré concrétiser. Après son départ, il se retrouve à la direction de l'architecture. Il a ensuite collaboré avec François Pinault, qui refusait de faire connaître le contenu de sa collection. (il suggère quelques réserves sur la nature de la collection de l'industriel, et j'irai plus loin que lui : j'ai le sentiment qu'il s'agirait d'un consortium international ). En tout cas la vie professionnelle de François Barré nous apprend beaucoup de chose sur la vie des arts et de l'architecture de la Cinquième République et représente par conséquent une excellente façon de traverser toutes ces décennies marquées par tant de créations de à Paris, mais aussi en province qui ont métamorphosé notre panorama culturel.




Riflessionii di un arftista scomodo, Umberto Marini,  prefazione di Flavio Caroli, Mudima

Umberto Mariani est une plus importants de l'Italie d'aujourd'hui et est certainement un des grands créateurs de notre époque. Sa reconnaissance a été tardive, bien qu'il n'ait jamais été inconnu et qu'il ait été collectionné dans son pays d'origine. Dans cet ouvrage, il donne les grandes lignes de son autobiographie, décrit son parcours créatif et donne son sentiment sir sur l'art moderne depuis les années soixante. Il commence par parler de l'art byzantin, qui a été une de ses grandes sources d'inspiration de puis ses débuts. Il a d'abord été l'un des représentants du Pop Art italien et ne renie pas cette période initiale, qu'il expose dès qu'il le peut, comme par exemple à Paris l'année précédente.
S'il est passé à un art radicalement opposé à partir du milieu des années 1970, avec ses Alphabets aphones, (il s'agit de lettres majuscules comme seuls sujets de toiles monochromes), et ensuite en créant des oeuvres, toujours monochromes et sans sujets, avec un seul trait commun avec les plis, déjà omniprésent dans ses représentations de mobiliers inspirés par le design d'avant-garde milanais. Il n'a pas cessé de traduite sous des modalités diverses ses plissés, il les a variés à l'infini, a décidé à un certain moment à les placer dans des cadres anciens après les avoir mis sous Plexiglas, il a imaginé des variantes infinies, qui montrent qu'il n'a pas changé d'optique, mais qu'il n'est cependant pas enfermé dans un système statique.
Il a sans doute été frappé et même fasciné par les plâtres antiques, des copies qui se trouvent dans les couleurs de l'Académie des Beaux-arts de Brera à Milan où il avait fait ses études. Mais c'est chez lui une sorte de fantasme, qui s'est traduit sur une apparence formelle minimaliste (de prime abord, car il s'en dégage une certaine sensualité). Pour les réalisées, il a abandonné l'usage de la toile, au profit du plomb, très malléable et, une fois peint, procure un paradoxal sentiment de légèreté et de souplesse.
Dans ces pages, il parle de mille chose selon les thèmes traités dans des chapitres courts (par exemple, il a parlé de quelques-unes de ses relations dans le milieu artistique, comme Gianni Spadari à qui il rend un hommage vibrant, à des critiques et des historiens d'arts, à un petit nombre de ses collègues, à des responsables des institutions culturelles. Il a additionné des considérations sur l'art ancien, sur l'arrivée triomphale du Pop Art américain en Europe, sa contribution difficile à la Biennale de Venise, à ses voyages et à ses expositions à l'étranger. Ce qui rend la lecture de l'ouvrage très plaisante et en éliminant la nécessité d'un récit linéaire. C'est tout à fait passionnant et dépourvu de toute tonalité didactique. Il se raconte, raconte sa carrière, raconte l'histoire d'une longue époque qui mène jusqu'à nos jours. Mariani surprend et ne prend pas des poses d'écrivain ou de théoricien. Il n'a qu'une théorie : la petite musique qui l'a amené à conduire son oeuvre de cette façon. En le lisant, on découvre qui il est vraiment, mais aussi quel est son regard sur le monde. C'est donc un document de premier plan.




Saul Leister, présentation de Max Kozloff, Photo Poche, Actes Sud, 13, 90 euro.

Saul Leister, né àPittsburgh (1923-2013) est un photographe qui a surtout traqué les détails, peu important qu'ils soient des scènes de la rue ou des scènes intimes. Il a aussi fait quelques portraits et quelques nus. Il a un oeil très particulier car tout, dès qu'il traite un sujet, peut très bien être peu insolite et même de l'ordre du banal. Son approche est celle d'un peintre qui s'attache à quelque chose qu'il a élu, quelque soit sa qualité originelle. Il aime l'atmosphère de la ville, même si elle n'est pas nécessairement belle ou même attrayante. Son talent est indéniable. Il a cette capacité de traduire dans son propre langage, en noir et blanc ou en couleurs, une réalité qu'il ne métamorphose par des effets techniques, mais qu'il sait néanmoins changer dans une optique esthétique. Sa démarche est très libre, mais, sans que cel soit apparent, est rigoureuse. Parfois, il rend un sujet pris au hasard d'une rencontre dans une rue une sorte de rush de film. Sans doute ne doit-on pas le ranger parmi les grands phénomènes de l'art de la photographie, mais pas non plus le reléguer parmi les auteurs mineurs.




Ruth Orkin, présentation d'Anne Morin, Photo Poche, Actes Sud, 13, 90 euro.

Ruth Orkin (1921-1985) est née à Boston. Elle a toujours rêvé de devenir cinéaste. Mais, à son époque, c'était difficile pour une femme de devenir réalisatrice. Lorsqu'elle s'est installée à New York en 1943, elle vivait en faisant des photographies dans des boîtes de nuit. Par la suite, elle a pu parvenir à rendre concrètes ses espérances. Mais c'est en tant que photographe qu'elle est demeurée connue. Il est intéressant de constater que bon nombre de ses clichés font penser à des cadrages de films, en particulier ses portraits. C'est quelque chose de frappant et qui fait toute l'originalité de sa démarche. Elle privilégie les scènes composées qui donnent l'illusion d'une certaine spontanéité, mais qui sont élaborées avec soin. Elle lui est arrivé de faire des séries d'une même mise en scène, comme dans Tell a Story en 1947. Il est indubitable que ses prises de vue ont une saveur particulière quelque ait été le motif choisi. Elle n'a pas cessé de multiplier ses champs opératoires : elle n'a pas eu de thèmes de préférence. Mais elle a aimé travailler en utilisant la rue, des immeubles, des petits métiers comme éléments de décor. Son mode opératoire est souvent reconnaissable et a très souvent la saveur d'un moment arraché à un film.




Stéphane Duroy, introduction d'Hervé Le Goff, Photo Poche, Actes Sud, 13, 90 euro.

Londres, Liverpool, Dublin et puis Berlin et bien d'autres lieux du monde, en particulier les Etats-Unis : Stéphane Duroy est un photographe gyrovague. Il a une prédilection pour le pittoresque, mais le terme étant pris à l'envers, traquant les signes de temps révolus, d'empreintes de la vie populaire qui est devenue une sorte de survivance d'une autre époque, montrant des intérieurs et leurs habitants toujours dans une sorte de vision à la fois nostalgique et fasciné par ce qui a été et n'est presque plus. C'est une recherche intéressante, mais qui a le défaut de trop mettre le temps, et l'accent sur un monde délabré ou désolé. C'est donc souvent le passé qu'il recherche dans le présent. Son travail ne manque pas d'intérêt, mais il s'est un peu enfermé dans cette volonté de mettre en rapport contradictoire deux temporalités.




Le Goût du temps, Brigit Bontour, Mercure de France, 128 p., 9 euro.

L'auteur a choisi un sujet assez délicat à traiter. Je regrette que Brigit Bontour n'ait pas choisi de placer la partie concernant la philosophie en premier car cela aurait été une bonne introduction à ce thème. J'ai été frappé par les pages d'Aristote, qui sont particulièrement éclairants et on peut tirer profit des considérations de saint Augustin d'Emmanuel Kant. Et puis je regrette beaucoup l'absence de Tristram Shandy de Laurence Sterne, où le temps est l'objet principal du récit. Mais je ne lui jetterai pas la pierre car on pourrait faire une liste énorme de récriminations ! Ce qu'elle a fait est malgré tout digne d'éloges. Marcel Proust , Charles Baudelaire, Virginia Woolf sont présents pour nous raconter leur relation intime à la temporalité, tout comme Gérard de Nerval et Stefan Zweig. C'est une excellente entrée en matière dans une question bien complexe. J'en recommande donc la lecture pour pouvoir toucher du doigt toute l'étendue de la question.
Gérard-Georges Lemaire
04-04-2024
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