logo visuelimage.com
 
 

 

 

 

 
   
 
 
 
 

actualités des expositions

Rayures dans la mer, tâches dans la savane : atelier créatif de Laura Mertz
Samedi 29 février du 15h au 17h
Atelier créatif + goûter à Coutume (12€)

ANOMAL
Quentin Garel

et RENCONTRES DE BAMAKO
exposition photo

MuséOthérapie, l’Art de se sentir bien !
Conférence Samedi 8 février à 15h :
« Art détox »
Estelle d’Almeida, chef de pr...

Ariane Loze - Une et la même

Fabien Tabur présente Buisson Ardent

ERWIN WURM Photographs

GROUP SHOW :
Féminin

antoine poupel
GROUP SHOW : 1970-1990, Regards sur la création havraise

Jusqu’au 22 février 2020

vladimir skoda
GROUP SHOW : L’œil et la nuit

elissa marchal
SOLO SHOW : Horizons

  [verso-hebdo]
08-07-2024

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Jean Nocret, un peintre oublié du XVIIe siècle français.

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Tatuaggio, storie del Mediterano, sous la direction de Luisa Gnecchi Ruscone & de Guido Guerzoni, Mudec / 24 Ore cultura, 176 p., 29 euro.

En vérité, cette exposition présentée au Mudec de Milan jusqu'au 27 juillet, ne se limite pas à la seule Méditerranée. Disons que c'est son pivot central. Dans sa préface, Guido Guerzoni considère que le tatouage a été la première écriture des sauvages (je lui laisse la responsabilité de ce terme !). Son usage a été condamné par le concile de Nicée en 325. Mais si on le trouve un peu partout pendant l'Antiquité, il a survécu depuis le triomphe de l'Eglise apostolique et romaine. Et puis les grands voyages d'exploration sur toutes les mers du monde font connaître des peuples qui portent sur leur corps ces inscriptions souvent complexes et d'un certain raffinement esthétique. Le mot tattoo, en anglais, est dérivé du mot polynésien tatau. On le trouve dans les récits de voyage du capitaine Cook.
En de-qui concerne le bassin méditerranéen, le tatouage est une marque infamante, les condamnés et les esclaves en portaient La découverte d'un corps bien conservé par les glaces remontant à plus de 3.000 ans avant notre ère (appelé l'Homme de Similaun)prouve que le tatouage existait à l'époque néolithique. On a aussi retrouvé le corps momifié d'un chasseur qu'on a appelé Özi. D'autres corps tatoué remontant à une période ancienne avaient déjà été retrouvés en Amérique du Sud. La momie d'une femme a également été retrouvée en Egypte et qui remonte à la XXIe dynastie. On pense que ces scarifications avaient un rôle prophylactique. Il a été retrouvé des fragments de statues grecques avec des signes inscrits sur les jambes.
Pendant le Moyen Âge, le tatouage était un signe d'infamie frappant en particulier certains métiers considérés ignobles. Par la suite, les corporations ont imaginé des tatouages indiquant leur appartenance à un groupe professionnel spécifique. Ils ont été nommés le « signe de Caïn », car ces hommes revendiquaient la value de leur métier. Mais, en règle générale, c'était le moyen de distinguer un criminel. Il a existé, à partir du trecento, des représentations du Christ du Dimanche, dont le corps portait des signes distinctifs. C'est alors qu'est apparu le tatouage dévotionnel, qui s'est développé à partir du XVIe siècle. Ces petits dessins religieux étaient souvent liés au pèlerinage à Jérusalem. La découverte de l'Amérique a permis de connaître l'incroyable diversité et inventivité des tatouages des populations du Sud-Est asiatique et du Pacifique.
En Europe, le tatouage est devenu l'apanage des prisonniers. Puis il est devenu l'une des attractions des fêtes foraines. L'engouement actuel pour le tatouage est traité dans cette exposition de manière un peu cavalière. C'est dommage, car ce passage du monde de la pègre aux bons citoyens, surtout des jeunes gens, mais pas seulement, est un phénomène qui mériterait d'être examiné avec plus de profondeur. E, somme, ce catalogue nous donne les clefs principales pour comprendre ce phénomène qui a traversé les siècles pour devenir une mode à notre époque. C'est un guide utile et qui permet ensuite d'étudier la question de plus près.




Exposure. Art, culture, fashion in and out of the show case, sous la direction de Mariana Castillo Deball & Theo Eshetu, Mudec United, 212 p., 15 euro.

Dans le numéro 2 de la revue publiée par le Mudec (nouveau musée de Milan), toute l'attention est portée sur la réalité actuelle des musées. Il est vrai que ces institutions ont beaucoup évolué, aussi bien les anciennes, comme le British Museum, comme les très modernes, tel le Centre Pompidou ou le Guggenheim de Bilbao. En ce qui me concerne, je ne suis pas sûr que les rénovations qui ont été faites par l'architecte Jean-Michel Wilemotte ont été un bien. Le musée, tel que je l'avais connu pendant mon enfance, avait un charme et une poésie indéniables. Bien sûr, je ne crois pas que tout doit demeurer immuable. De plus, le Louvre a changé de bien des manières : la plupart des oeuvres du XIXe siècle ont été transférées au musée, d'Orsay, des embellissements ont été réalisés (comme le plafond peint par Cy Twombly, par exemple), la présentations d'expositions comportant des créations récentes, etc.
Et puis il y a eu les nouvelles acquisitions et puis la réhabilitation de certains artistes, comme Decamps, qui sont sortis de l'enfer des réserves. L'opération a été baptisée « A Crocodile in the Ceiling » (pourquoi un titre en anglais au coeur de la Lombardie ?). Cette affaire consiste d'abord à nous faire visiter le musée proprement dit avec un regard nouveau et en s'arrêtant devant des pièces représentatives visiter les collections du Mudec d'une autre façon que celle habituelle, passant d'un tableau à une sculpture, d'une installation à une autre. C'est d'ailleurs un thème depuis un moment utilisé par des artistes à la mode, comme Damian Hirst, qui a réalisé Dead End en 1994.
D'autres sections sont difficiles à interpréter et les textes qui les accompagnent ne sont guère éclairants. Des réflexions sur le mode de présentations des oeuvres et sur des créations improbables (comme Sissy, qui pourrait être l'oeuvre d'une curatrice et qui a des velléités idéologiques). Bref, on se perd un peu dans ce labyrinthe de textes écrits en anglais et de nombreuses photographies de toutes sortes, souvent indéchiffrables. En somme, je crois que ce parcours sert plus à perdre le visiteur qu'à le guider vers une nouvelle vision des ouvrages présentés par le musée. C'est malheureusement ce qui se passe à l'heure actuelle : nous avons perdu bien des repères, et ceux qui nous restent sont mis en pièce par les responsables des musées eux-mêmes. A prendre avec précaution !




Lettres à un jeune poète, Rainer Maria Rilke, précédées d'Orphée, Eurydice, Hermès, et suivies de deux essais sur la poésie traduit de l'allemand et postfacé par Gustave Roud, Editions Allia, 128 p., 6, 50 euro.

Les éditions Allia ont déjà publié et réédité nombre de volume de René Karl Johann Josef Maria Maria Rilke (1875-1926), qui a choisi de changer son long prénom en Rainer Maria. Il a vu le jour à Prague. Son père avait de grandes responsabilités dans une société ferroviaire, la Turnau-Kraplup-Prag. Dès l'école élémentaire allemande, il a commencé à écrire de courts poèmes.
Quand il a suivi les cours de l'école militaire, il a écrit un essai sur la Guerre de Trente Ans et a tenu un journal. Suivie l'école militaire supérieure. Rilke a demandé à son père d'en sortir une fois qui ait été diplômé. Il a publié en 1890 un premier poème dans le périodique viennois Das interessante Blast. Il est alors entré dans une école de commerce de Linz. Il abandonna ses études en 1892 un an avant la fin du cycle. C'est à Linz qu'il a écrit la plupart des poèmes du futur recueil intitulé Leben und Lieder.
En juin 1892, il a commencé à recevoir une petite mensualité envoyée par son oncle Jaroslav, qui est mort quelques mois plus tard. L'idée de ce dernier était de lui permettre d'étudier à la faculté de Jurisprudence. Il passe son baccalauréat. Un an plus tard, il fait la connaissance de Valerie von David-Rhonfeld, avec laquelle il a échangé une correspondance nourrie jusqu'en 1895. Il a déjà à son actif un nombre important d'oeuvres. Il a publié un texte en prose, Feder und Schewert. Ein Dialog, dans la revue Deutsches Abendblatt à Prague. Puis il a fait paraître ses quatre premiers Lautenlieder dans un périodique spécialisé dans la poésie, le Jung-Deutschlands Musenalmanach.
Il a aussi écrit un récit autobiographie, Pierre Dumont, qui n'a pas été imprimé. Mais ses Lautenlieder sont parus en volume en 1894. Il est parvenu à obtenir son diplôme au Graben Gymnasium de Prague. Il fréquente les cercles intellectuels de Prague et fréquente le Concordia et le Verein Deutscher Bidender Künstler. En septembre, il s'est inscrit à la Karl Ferdinand Universitât. Il a l'intention de suivre des cours d'histoire de l'art, la philosophie et l'histoire de la littérature. Il a fait publier cette année-là un second volume de poésie, Lartenopler. Puis il est un des créateurs de la revue Wegwarten.
A partir de septembre 1896, Rilke commence sa vie errante en Europe. Il se rend d'abord à Munich, où il suit des cours de philosophie à l'université. En décembe a paru son troisième volume de poésie, Traumgekrönt. Il se rend à Venise au mois de mars et y rencontre Lou Andrea Salomé, avec laquelle il a une relation passionnée. A la fin de 1897, il publie un drame, Ohne Gegenwart. Il fait aussi paraître à Leipzig un recueil, Advent. Il entretient des liens avec la revue Ver Sacrum de Vienne. Il se rend à Florence au printemps 1898, Il y écrit un journal de voyage, Florenzer Tachebuch. Puis, en août, il se rend à Berlin. Il s'inscrit à la faculté d'histoire de l'art. Il fréquente les cours de Georg Simmel. En avril 1900, il va à Saint-Pétersbourg avec Lou Andrea Salomé. Il fait un séjour à Moscou où il fait la connaissance de Léon Tolstoï. En 1901, il est à Paris. Puis il rencontre à Brême le sculpteur Clara Westhoff, qu'il épouse au mois d'avril. Il retourne à Paris et devient le secrétaire d'Auguste Rodin tout en écrivant une monographie sur le grand artiste. Les Lettres à un jeune poète, Rilke a commencé à les écrire à Paris en 1903. Plusieurs seront écrites à Pise, à Viareggio, ensuite à Worpswede, à Rome, la dernière étant rédigée toujours à Rome en mai 1904.
Cet imaginaire François-Xavier Kappus n'est pas exactement son double, mais plutôt son lecteur d'élection. C'est à lui qu'il adresse ces recommandations et et ces considérations sur l'art de la poésie et ce que cela peut signifier dans l'existence. Je les ai relues encore une fois, et je dois avouer que je suis encore resté sous le charme.




Napoléon vu par Abel Gance, collectif, La Table Ronde / La cinémathèque française, 312 p., 29 euro.

Cet album est une merveille, non seulement parce qu'il nous permet de voir de nombreuses vues du film qu'Abel Gance a terminé en 1927, après plus de deux ans d'effort, mais aussi parce qu'on y trouve des commentaire précieux s sur les différents sujets qui concerne cette création, du tournage à la reconstitution historique qui, bien entendu, pose quelques problèmes.
Ce chef-d'oeuvre absolu, qui surpasse même Naissance d'une Nation de Griffith, Je n'ai pas eu la chance d'assister à la projection sur trois écrans qui a eu lieu à la Cité de la Science, mais j'ai vu le film une première fois à la télévision et puis j'ai pu acquérir une copie en DVD.Abel Gange voulait faire sept épisodes. Il n'a pu faire que le premier, qui faisait près de dix heures à l'origine !
La Cinémathèque français a réussi à restaurer ce film que le cinéaste avait confié à Henri Langlois ainsi que ses archives en 1948. Le travail de restauration a été long et difficile. Mais le jeu valait la chandelle car il s'agit là d'un film véritablement hors du commun. Sans doute pourrait-on adresser des critiques sur le plan historique. Mais le cinéaste a su faire un portrait du jeune Bonaparte qui est absolument extraordinaire.
La bataille de boule de neiges, quand il étudiait à l'école militaire de Brienne n'a peut-être jamais existée. Mais peu importe : c'était une façon de mettre en évidence son esprit de commandement et aussi la marque de son destin futur. Il y a dans cette oeuvre inoubliable des scènes splendides, comme celle où il se rend à l'Assemblée nationale déserte et voit y apparaître toutes les grandes figures de la Révolution disparues au cours des événements qui se sont déroulés avec une rapidité vertigineuse : Danton, Robespierre, Marat (qui est interprété par Antonin Artaud), Saint-Just, etc. C'est une séquence éblouissante où tous ces hommes illustres lui confie la charge de parachever la grande Révolution.
Le passage des Alpes est également représenté de façon superbe. Bien sûr, Able Gange a transformé l'existence de cet homme d'exception (Manzoni a écrit, lorsqu'il est mort à Sainte-Hélène en 1821, qu'on verrait pas d'ici longtemps une figure aussi imposante et géniale) . Mais l'histoire de France n'a-t-elle pas été depuis ses origines une grande épopée en vue de la création d'une puissante Nation ?
Bien sûr, nous histoire a connu des hauts et des bas et même récemment avec la défaite de 1940 et le gouvernement de Vichy. Dommage que l'auteur n'ait pas pu aller plus loin dans cette aventure phénoménale car il aurait été bon de montrer quel avait aux yeux de Napoléon l'empire, qui devait selon lui devenir l'Europe unie. Mais ce qu'il nous a laissé en héritage et que nous pouvons enfin découvrir depuis moins d'une décennie est quelque chose qui échappe aux conventions du cinématographe des années vingt.
Le livre nous présente une magnifique collection de photogrammes qui nous permettent de suivre les différents épisodes du film. Et les textes qui l'accompagnent évoquent en détail l'histoire du tournage, puis du montage, les tentative faites par l'auteur de trouver des distributeurs valables, Avec lui, nous entrons de plain-pied dans le mythe de l'empereur. Et dans la tourmente révolutionnaire qui a changé notre pays de fond en comble en dépit des brèves restaurations royales. C'est un document absolument magnifique, très bien documenté et avec ces illustrations tirées du film qui font rêver. Cela nous permet aussi de comprendre l'incroyable créativité d'Abel Gance (1889-1961), qui a fait par la suite un grand nombre de films sonores et qui a tourné La Bataille d'Austerlitz en 1960.
Gérard-Georges Lemaire
16-05-2024
Lire les [Verso-hebdo] antérieurs
 
logo visuelimage.com

Verso n°136

L'artiste du mois : Marko Velk
Silvia Paladini[MA&MD]
Silvia Paladini,
navigatrice et bibliophique de l'art.
par Gérard-Georges Lemaire
Elena Santo[MA&MD]
Elena Santoro
par Gérard-Georges Lemaire
Luisa Pineri[MA&MD]
Griffures : Luisa Pinesi joue
entre surface et profondeurs
par Gérard-Georges Lemaire
Ariel Soule[MA&MD]
Rencontres au café Tortona
avec Ariel Soule
par Gérard-Georges Lemaire
Akame Kirimura[MA&MD]
Le fil rouge d'Akane Kirimura
par Gérard-Georges Lemaire
Stefano Soddu[MA&MD]
Pierre Delcourt
en quête d'un absolu du visible
par Gérard-Georges Lemaire
Stefano Soddu[MA&MD]
Stefano Soddu,
entre diverses dimensions
par Gérard-Georges Lemaire
Olivier de Champris[MA&MD]
Une expédition picturale à Cythère
en compagnie d'olivier de Champris
par Gérard-Georges Lemaire
John Giorno[MA&MD]
Dans l'atelier de Hans Bouman
par Gérard-Georges Lemaire
John Giorno[MA&MD]
John Giorno : William Burroughs
tel que je l’ai connu.
par Gérard-Georges Lemaire
Giampiero Podesta[MA&MD]
Giampiero Podestà, ou l'origine d'un monde
par Gérard-Georges Lemaire
visuelimage[idées]
Takis: Contemporary Poet of Heaven and Earth

by Megakles Rogakos, MA MA PhD
Marilena Vita[MA&MD]
Sur les pas d’Adalberto Borioli
par Gérard-Georges Lemaire
Marilena Vita[MA&MD]
Marilena Vita,
entre mythe et onirisme
par Gérard-Georges Lemaire
Marie Maurel de Maille[MA&MD]
Le regard photographique
de Marie Maurel de Maille
par Gérard-Georges Lemaire
Marie Maurel de Maille[MA&MD]
Santiago Arranz,
l'ami intime des écrivains
par Gérard-Georges Lemaire
visuelimage[idées]
George Koumouros
"Portrait Landscapes"

Exhibition curated
by Megakles Rogakos

PRESS RELEASE

visuelimage.com c'est aussi

Afin de pouvoir annoncer vos expositions en cours et à venir dans notre agenda culturel, envoyez nous, votre programme, et tout autre document contenant des informations sur votre actualité à : info@visuelimage.com
ou par la poste :
visuelimage.com 18, quai du Louvre 75001 Paris France

à bientôt.
La rédaction

Si vous désirez vous désinscrire de cette liste de diffusion, renvoyez simplement ce mail en précisant dans l'objet "désinscription".

      duchamp[MA&MD]
L'univers fantasmagorique
d'Esther Ségal
par Gérard-Georges Lemaire
Mucha[livre]
Quand Patrizia Runfola nous révèle le cheminement d’Alfons Mucha de Paris à Prague

Christian Parisot s’entretient avec Gérard-Georges Lemaire à propos du livre de Patrizia Runfola sur Alfons Mucha qui vient de paraître aux Editions Exils.
visuelimage[idées]
Ney Matogrosso: Beautiful as a Greek
The Greek Mythology inspires a Revolutionary”
by Alkistis Michaelidou
PRESS RELEASE

Co-curated by Dr Megakles Rogakos
and Ioannis N. Arhontakis
     
      duchamp[MA&MD]
Le monde enchanté de Christine Jean
par Gérard-Georges Lemaire
visuelimage
[idées]
GROUP VISUAL ART EXHIBITION
"Die Kunst ist ein Ausweg
bei sexuellen Problemen"
PRESS RELEASE

by Rogakos Megakles
duchamp[MA&MD]
Eric Rondepierre
et les aléas de la pellicule
par Gérard-Georges Lemaire
     
      visuelimage
[idées]
“Prossalendi’s Britannia
Contemporary Perspective
PRESS RELEASE

by Rogakos Megakles
duchamp[livre]
Procès de l'art contemporain :
Accusation et défense
Jean-Luc Chalumeau
UPPR éditions,
collection « Carte blanche »,
134 pages, 14,50 euros.
[idées]
duchamp
Corfu Festival for the Bicentenary
of the Order of St Michael and St George 1818 – 2018
by Rogakos Megakles
     
      duchamp[MA&MD]
Les figures rabelaisiennes
de Claude Jeanmart
par Gérard-Georges Lemaire
duchamp[livres]
Severine Jouve s'entretient avec Gérard-Georges Lemaire
à propos de son histoire de la critique d'art.
duchamp[MA&MD]
La petit monde exhubérant
de Laurie Karp
par Gérard-Georges Lemaire
     
      duchamp[livre]
Le Livre des îles noires – vies de Fletcher
roman de Pierre Furlan publié par Au Vent des Îles
par Christophe Cartier
duchamp[MA&MD]
Umberto Mariani : dorures et plissage
par Gérard-Georges Lemaire
[idées]
duchamp
The Muses Project
A Dialogue Between Art and Science
by Rogakos Megakles

Press Release
     
      duchamp[focus]
I 4 SOLI
Une exposition présentée par Gérard Georges Lemaire
duchamp
Le cercle de Brion Gysin à Paris
par Gérard-Georges Lemaire
[idées]
duchamp
Joycean Exegesis of The Large Glass: Homeric Traces in the Postmodernism of Marcel Duchamp.

by Rogakos Megakles
     
      duchamp[humeur]
Misungui Bordelle
17 novembre, 10:36.
duchamp[focus]
Supplément d’âmes
Correspondance entre Ernest Breleur et Myriam Dao, octobre-novembre 2016
duchamp[focus]
Focus sur Lois Weinberger
par Myriam Dao
     
      Myriam Dao
Arthur Aeschbacher en compagnie de Marcel Duchamp et de Brion Gysin.

par Géraldine Kozask

duchamp[idées]
Entretien avec Bernard Metzger.

par Christophe Cartier
[idées]
Myriam Dao"NAPOLUN"
Empires de Huang Yong Ping
Monumenta 2016 au Grand Palais

By Régine Cuzin et Myriam Dao
     
      duchamp[idées]
"Welcome - The European Hospitality and its Borders"

By Megakles Rogakos
duchamp[idées]
Retour « à la campagne » pour les artistes chinois à la Fondation Louis Vuitton

par Myriam Dao
duchamp[idées]
La bibliothèque d’Anselm Kiefer

par Pierre Furlan
     
      duchamp[idées]
Picasso - Cocteau: A Top Artistic Encounter

By Megakles Rogakos
duchamp[idées]
Lettres de Panduranga  - Au Jeu de Paume,
« l’esthétique du divers » mise en orbite

par Myriam Dao
duchamp[idées]
Ink Kingdom / Truc-Anh,
« Un cabinet des âmes errantes »,

par Myriam Dao
     
      duchamp[idées]
Après le « Jour d'après »,

par Myriam Dao
duchamp[idées]
Entretien avec Diane Ducruet, photographe.

Propos recueillis par Christophe Cartier
Jeff Koons sans ironie[idées]
Galerie A2Z
Entretien avec Anthony Phuong, galeriste

Propos recueillis par Myriam Dao
     
      archipel[idées]
Archipel Secret - Palais de Tokyo - Paris
Richard Streitmatter-Tran diacritic.org
The Women and the Waq Waq

par Myriam Dao
Jeff Koons sans ironie[idées]

Jeff Koons sans ironie

par Pierre Furlan
Jeff Koons sans ironie[idées]

Retrait de la photo de Diane Ducruet « mère et fille » de la programmation du mois de la photo : Petit compte rendu d’une maladresse révélatrice de peurs ancestrales….
par Christophe Cartier
     
      duchamp[idées]
Les coups de cœur 2
par Eric De Monagendart
duchamp[idées]
Les coups de cœur 1
par Eric De Monagendart
Bill Viola
[idées]
De Mapplethorpe à Nancy Cunard... Correspondances fictives (1986)

par Myriam Dao & Christophe Cartier
     
      Christophe Cartier
[idées]
Super-héros, rendons justice…

par Myriam Dao

[idées]
Bill Viola ouvre des fenêtres sur les grands thèmes de la peinture occidentale.

par Myriam Dao & Christophe Cartier
Christophe Cartier [idées]
PAPARAZZI
ou comment la presse people bouleverse nos grilles de lecture

par Christophe Cartier
     
      duchamp[idées]
Margarita Petrova’s Dollhouse - An Allegory for the Human Condition

par Megakles Rogakos
demetrius[idea]
The Illustrated Books of Démétrius Galanis
A Discreet yet Amazing Exhibition

by Megakles Rogakos
duchamp[idées]
Le Grand Verre et le Pavillon de la Grande Jetée.
Centenaire de la visite de Marcel Duchamp à Herne Bay en 1913.

par Megakles Rogakos
     
     


Christophe Cartier au Musée Paul Delouvrier
du 6 au 28 Octobre 2012
Peintures 2007 - 2012
Auteurs: Estelle Pagès et Jean-Luc Chalumeau


Christophe Cartier / Gisèle Didi
D'une main peindre...
Préface de Jean-Pierre Maurel


Christophe Cartier

"Rêves, ou c'est la mort qui vient"
édité aux éditions du manuscrit.com