CITYSCAPES
Les paysages urbains dans leur complexité, leur diversité.
Les grandes cités mêlant les traces de leur histoire à une
architecture moderne toujours en développement. Les villes dans leur
perpétuelle mutation, immeubles en construction interpellant quelques
autres, érigés en signaux intemporels. La mise en évidence
d’une architecture moderne venant fragmenter les vestiges du passé,
Une organisation citadine déposée en couches successives au
fil du temps.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.
URBAN LINES
Les lignes architecturales mêlées à celles des infrastructures
urbaines ou à celles, plus éphémères, de tout
ce que la société produit pour son organisation et son développement,
montrées comme un tissage architectural lumineux et magnifié.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.
WASTE LANDS
Les zones frontières, coincées entre deux cultures, deux architectures,
celles de la ville et celles de la banlieue. Des lieux hésitant entre
passé en déliquescence et avenir incertain. Lieux de tous les
replis ou de tous les possibles.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.
Dans ces quatre dernières séries, un procédé de
manipulations numériques différent de celui utilisé dans
les séries Like Paintings , Représentations,
Perception , ou Identity’s Portraits fait référence à la
peinture et à la sculpture.
Telle une matière rendue picturale par la couleur ou sculpturale par
le relief apporté, des faisceaux de couleurs lumineuses amènent
la réalité de l’architecture des sujets à devenir
abstraite et donc insolite aux yeux du regardeur. Dans ce jeu de la mise
en évidence de signaux et de leur transformation, ces photographies
déroutent la perception et poussent à s’interroger sur
l’image initiale qui nous sert de référence.
Andrée Philippot-Mathieu