Michel
Charlier-Haldorf |
Michel Charlier-Haldorf a construit un robuste autoportrait, maçonné selon une manière proche de ses travaux proches de l’abstraction, comme un aboutissement de son parcours de peintre qu’il a lui-même ainsi résumé : « Durant les années Support/Surface j’ai réalisé de nombreuses « toiles libres » à partir d’un travail sur le pli et la structure. Je fus, en 1975, avec J-F. Dubreuil, Charles Le Bouil, Francis Limérat, Pascal Mahou et Jean Mazeaufroid, l’un des membres fondateurs de l’organisation « T,P. Travaux, Pratiques » dont l’activisme culturel était au service d’une peinture « construite » développant sa propre nécessité à partir des éléments qui la fondent (…). J’interrompis, en 1985, un travail qui, dans mon optique, ne pouvait plus se poursuivre que sur un mode répétitif.
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Né en 1937. Vit et travaille dans l’Aisne
Expositions personnelles depuis 1977
1977 : Galerie NRA, Paris
1976-1979 : Galerie L’oeil 2000, Châteauroux
1976 : Galerie « 30 », Paris
1978 : Galerie « 30 », Paris
1981 : Galerie « 30 », Paris
1984 : Galerie « 30 », Paris
1991 : Bibliothèque Georges Duhamel, Mantes-la-Jolie
1998 : Porte Saint-Pierre, Château-Thierry
2001 : Salle du Trésor, Reims
2005 : Hans-Thoma-Museum, Bernau im Schwarzwald
2007 : Galerie Clémengis, Châlons-en-Champagne |
mis en ligne le 01/04/2008
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(…) Après avoir mis les théories de côté, je repris les pinceaux en recommençant par le commencement, par la pomme. Dans le même temps, je quittai Paris pour venir vivre et travailler à la campagne. Ecouter « la parole muette » des terres de moissons et de vendanges ne fut pas sans incidence sur le développement de mon travail ». |
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