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27-06-2024

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Hélion, Henry-Claude Cousseau, Editions du Regard, 366 p., 35 euro.

Vous le savez tous, Jen Hélion (1904-1987) a suivi un chemin contraire à bon nombre des grands maîtres du siècle dernier : il est passé de l'abstraction, où il a excellé, à la figuration, en démontrant dans ce domaine des qualités tout aussi remarquables. C'est une histoire de peintre qui n'a quasiment pas son pareil. Le très d'Henry-Claude Cousseau est digne d'éloge, car il a très bien su raconter cette aventure artistique avec finesse et perspicacité.
Quand on commence à parcourir cette monographie, on constate qu'Hélion s'est d'abord adonné à des exercices de caractère figuratif. Jusqu'en 1929, il a exécuté des natures mortes, qui avaient déjà un esprit très original. Il joue avec ses sujets et, parfois, les métamorphose. Il est donc assez loin de l'esthétique, pourtant très variée (chaque artiste pouvait inventer son style en toute liberté et sans s'inscrire dans une perspective dictée par ses congénères), de l'Ecole de Paris. Cette période s'achève en 1929. A partir de cette date, il s'est orienté vers un art radicalement abstrait, en faisant référence au néoplasticisme de Mondrian et des amis. Mais s'il s'inspire beaucoup de ce courant, il y introduit presque aussitôt des variations qui n'en respectent pas les règles majeures. Cette phase a duré jusqu'au milieu des années trente. C'était sans doute pour lui une période d'apprentissage pour découvrir de quelle manière il pouvait aborder une sphère qui n'avait plus de relation directe avec le monde tangible. Le néoplasticisme exigeait une rigueur formelle sans défaut. Il ne s'est pas perçu comme un disciple de ses aînés néerlandais, mais comme pouvant employer leur langage comme base de sa réflexion.
Quoi qu'il en soit, à partir de 1937, il compose des agencements complètement différents en disposant des formes géométriques plus ou moins régulières dans un espace dont il est alors le seul à exploiter. Ces formes très colorées sont quelquefois reliées les unes aux autres par des bandes assez larges, comme si elles constituaient une entité en soi et pour soi. Et puis il met en place des fonds monochromes et donne un certain relief à ces objets assemblés. Il leur donne des titres qui font référence à des figures vivantes comme, par exemple, Figure creuse ou Figure debout. Par la suite, dès la fin de ces années trente, il n'a de laisse de modifier les schémas formels de ses compositions, comme s'il avait peur de s'enfermer dans un langage répétitif. Jusqu'à la déclaration de la guerre, il rend de plus en plus mystérieuses ses compositions, qui ne renvoient à rien de connu avec une gamme chromatique très accentuée, mais qui ne cesse, elle aussi, de changer en fonction des tableaux.
Dans cet ouvrage, la première oeuvre figurative est un portrait d'homme intitulé Emile, suivi d'une autre tête, celle d'Edouard, toutes deux exécutées en 1939. Toutes deux portent un chapeau. Mais ce qui est le plus intriguant est que le modelé des visages ne respecte pas entièrement la réalité. En somme, ces visages sont très proches de la réalité, mais présentent de curieuses divergences. Toutes ses figures d'hommes sont stylisées et un peu déréalisées, donnant ainsi naissance à une ambiguïté recherchée. Ce sont des personnages appartenant à son monde pictural. Il lui est arrivé de les déformés un peu, avec une touche d'ironie.
Ensuite, il a élargi son champ avec des figures en pied, des scènes de rues et aussi des natures mortes. Il n'est pas revenu à une sorte de réalisme et a introduit quelque chose de son passé abstrait. Il a pu même aller jusqu'à la caricature. Ses nus féminins sont surprenants. Il montre ces femmes assises, une main soutenant leur tête, d'une façon plutôt désabusée. Il ne s'inscrit pas dans la région onirique du réalisme magique, tout en rendant tout ce qu'il a eu envie de peindre. Il ne cesse de changer de registre et il a souvent éprouvé l'envie de transformer un ou plusieurs manières de traiter son sujet. Il ne m'est pas aisé de définir si Hélion a conçu une poétique.
En fait, sa démarche est très ambiguë : ses tableaux sont séduisants la plupart du temps, mais il introduit souvent des éléments discordants. Je songe, entre autres, à tous ses nus de femmes qui sont plutôt disgracieux. Ils sont chargés d'une forte mélancolie, comme si la beauté de ces modèles avait été détruite par le temps et les épreuves de la vie. En revanche, ses vitrines, qui sont fantasmées, sont très attirantes par leur singularité et par la beauté de sa peinture. Ses lecteurs de journaux sont d'une étrange étrangeté.
En définitive, sa conception de la figuration est toujours une transgression des données du réel. C'est souvent à quelques lieues du réel, Dès lors, c'est aussi une métamorphose de ce réel banal, à l'exception de ses vitrines qui sont de l'ordre de la fantasmagorie. Il a aussi de curieuses obsessions avec des thèmes récurrents : le chapeau, le parapluie, le potiron, pour ne citer que ceux-là. Ce qu'il a développé au cours de toutes ces années est une sorte de paradis désenchanté, mais que son art transmue en un microcosme des plus fascinants. Et lisez l'étude très fouillée d'Henry-Claude Cousseau : elle est un excellent moyen de pénétrer dans son périple esthétique.




Degottex, du lyrisme à la matière, Michel Gauthier, Editions du Regard, 320 p., 59 euro.

Jean Degottex (1918-1988) a disparu trop tôt, à l'âge soixante-dix ans. Il a été l'un des grands protagonistes de l'art français après la dernière guerre. Malheureusement, sa reconnaissance posthume a été entravée par des manoeuvres malencontreuses (nuisibles au plus haut point) et par l'absence de grandes expositions au Centre Georges Pompidou ou au musée de la Ville de Paris. Cela est très regrettable, car il a été l'un des peintres les plus passionnants de sa génération. Je ne partage pas l'affirmation de l'auteur de l'ouvrage qui rattache son oeuvre du début à l'abstraction lyrique. Il est évident qu'il est plus proche de cette forme d'abstraction, qui l'a sans doute inspiré en partie, mais il semble évident que sa démarche a été d'une autre nature.
Il avait une passion pour l'écriture et il m'en a souvent parlé lors de nos conversations. Son rapport avec André Breton au milieu des années cinquante peut prouver qu'il avait déjà choisi un autre cheminement esthétique qui étaient différents de ses contemporains plus âge de la seconde Ecole de Paris. Bien sûr, l'automatisme qui avait été un enjeu du surréalisme pouvait être appliqué à la peinture. Cette forme d'expérimentation a été scripturale et aussi graphique. L'idée de l'utiliser dans des termes picturaux a été une invention tout à fait intéressante, d'autant plus qu'elle avait vu une application dans l'oeuvre de Jackson Pollock. Après une très brève période au début des années cinquante, il a très vite choisi d'inclure des signes dans ses compositions. Vague 11 (encre de Chine et aquarelle), exécutée en 1954 le prouve amplement. Il semble d'ailleurs logique qu'il ait éprouvé le besoin de s'éloigner de ses prédécesseurs immédiats. Il était en quête d'une expression qui n'appartienne qu'à lui. Il parvient alors, après quelques essais divers, à clarifier son style. La rencontre avec Georges Mathieu un peu plus tard a été pour lui importante, car il retrouvait chez lui une même envie de faire de l'acte pictural un acte d'écriture, même si le second a opté pour une autre expression plastique. Cela l'a sans aucun doute encouragé à poursuivre dans cette direction. Il ne cesse plus de jouer avec des signes qui sont sorti de son inconscient et qui l'ont inspiré autant par les calligraphies chinoises et japonaises, que part d'autres modes d'écriture issus de civilisations anciennes, comme celle de la Mésopotamie.
Au fond, il ne souhaitait pas s'identifier à telle ou telle forme d'alphabet ou d'idéogramme. Ce qui comptait à ses yeux, c'était que ses toiles soient le support d'un ou de plusieurs caractères qui n'avaient de sens véritable que dans sa sphère plastique. Ils tournoyaient dans un espace fictif, souvent monochrome et sans contenu spécifique. Croisade 4-8 de 1956 est la manifestation la plus notable de cette vision.
Chaque oeuvre est un développement de cette pensée qui le pousse à chercher chaque fois une nouvelle façon de traiter ces signes imaginaires. Cette longue période se caractérise par de nombreuses déclinaisons, et par l'introduction de la couleur de manière irrégulière. Il ne cesse de jouer avec des propositions formelles différentes. Il n'est que de voir les Alliance Rose Bleu de 1959. En 1962, il exécute de nombreuses pages d'écriture (une écriture fictive, il va sans dire). C'est sans doute là un tournant. Désormais il ne compose plus que des compositions plus complexes et plus denses. a toile se charge de lignes ou de croisements de signes divers, plus ou moins grands, et qui envahissent l'espace qu'il leur a réservé.
La couleur demeure une sorte d'accentuation qui n'intervient qu'en de rares occasions. Il atteint alors la plénitude son art dans ce contexte. Par la suite, à parti de Métasphère (1966), il s'engage sur une tout autre voie avec des formes sphériques. Cette transition l'entraîne vers de nouveaux horizons. Il peint des tableaux qui sont plus rigoristes et présentent des étagements de grandes rectangles superposés. Plusieurs solutions s'imposent à lui : le fait de laisser parfois la peinture s'écouler dans la partie inférieure de sa toile, créant ainsi un contraste entre ses combinaisons formelles et cette zone aléatoire. Il utilise aussi des obliques comme dans Papier plein n°11 (1972. Si son discours plastique est devenu plus minimaliste et ou monochrome ou bichrome, il n'arrête pas de décliner des propositions spéculaires de toutes sortes dans ce cadre de travail inédit. Et il procède à des expériences qui le même à Dépli bleu (et à une recherche sur le matériau et sur ses strates. Il donne l'impression d'être pris par le démon de la quête de tant de possibles que lui offrent les matériaux, la couleur, la peinture elle-même. C'est une investigation qui ne semble plus avoir de limite ou il excelle.
Je me rends bien compte que cet artifice ne rend que très partiellement le fantastique cheminement de Jean Degottex. Et je vous recommande chaudement de lire l'essai de Michel Gauthier et de voir ces nombreuses reproductions inclus dans ce livre formidable.




Adolphe Pétérelle, découvrir le voile de l'âme, collectif, musée du Mont de Piété, Bergues.

Une fois encore, je dois reconnaître que j'ignorais jusqu'au nom de cet artiste ! Il est vrai qu'il n'y avait pas eu d'exposition de ses oeuvres depuis 1952, au musée Galliera à Paris ! Adolphe Pétérelle est né à Genève en 1874 Il est décédé à Paris en 1947. Après avoir été apprenti décorateur, il est entré à l'Ecole des Arts industriels à Genève. Il décide de se rendre à Paris en 1893. Après diverses errances dans la capitale, il s'installe à Montmartre.
En 1900, il doit quitter le Bateau-Lavoir. Il travaille alors pour une faïencerie. Il loue un atelier en 1908 dans la cité Falguière. Pendant cette période (1911-1913) une dizaine de tableaux. Il va s'installer à Voulangis (Seine et- Marne). Il se voit confier, avec un collègue, la décoration du nouveau casino de Juan-les-Pins.
Quand la guerre est déclarée, il s'engage dans la Légion étrangère. Il est naturalisé français. Il est gravement blessé en 1915 près de Péronne. Il est réformé en avril 1915. L'Etat lui achète une oeuvre. Il a installé en 1922 son atelier rue de Bac, dans la boutique de l'Encrier, qui est une coopérative d'artistes.
La même année, il réalise deux panneaux décoratifs pour le pavillon d'Indochine au sein de l'Exposition coloniale qui a lieu à Marseille. En 19245, il présente ses tableaux au sein de l'exposition des Amis de Montparnasse. Un an passe, et il est chargé de décorer en collaboration, le plafond de la cour des métiers lors de l'Exposition des Arts décoratifs. Il expose en 1926 ses oeuvres dans le café Le Petit Napolitain à Montparnasse. Il expose en 1927 à la galerie et le sculpteur François Pompon lui achète une toile. Il expose aussi à la galerie d'Art, toujours à Montparnasse. Il expose dans cette même galerie l'année suivante, et ensuite à la fin de 1929.
C'est à la galerie Georges Bernheim qu'il expose en 1930. Deux ans plus tard, l'un de ses collectionneurs lui commande deux panneaux décoratifs. A partir de 1933, l'Etat et la Ville de Paris achètent ses oeuvres. Il montre ses peintures et ses dessins à la galerie Rive gauche. Deux ans après, il a une exposition personnelle à la galerie Charpentier. En 1939, l'Etat lui commande deux panneaux décoratifs. Il expose à la galerie Fleury à Saint-Germain-des-Prés. C'est en 1942 qu'il participe à une exposition collective à la galerie Charpentier sur le thème du paysage français. La galerie de France présente une exposition de ses oeuvres sur papier. Il est frappé par une hémiplégie en 1944. Il parvient néanmoins à peindre de la main gauche.
En 1947, l'année de sa mort, l'Etat lui achète plusieurs tableaux et des panneaux. Cette biographie, extrêmement résumée, démontre qu'il n'a jamais été mis à l'écart. Il est vrai qu'il ne figure pas parmi les grands maîtres de l'Ecole de Paris pendant l'entre-deux-guerres. Il est vrai qu'il s'est écarté de beaucoup de l'esprit des peintres de son temps Dès le milieu des années vingt, il a opté pour une forme d'expressionnisme bien à lui, loin de Vlaminck ou de....
Cette solitude recherchée ne l'a pas empêché d'exposer, d'avoir des collectionneurs et d'avoir des commandes officielles. On ne peut qu'être frappé par ses natures mortes, ses paysages, ses baigneuses et ses portraits, qui dénotent tous d'une profonde originalité. Il a une façon de traiter ses sujets très en pâte, mais sans pourtant verser dans une vision sombre du monde. Il y a chez lui un curieux mélange de densité chromatique et de sensualité qui ne se trouve chez aucun de ses contemporains. Il est urgent de réhabilité cet artiste tombé dans les oubliettes. Cette exposition et ce beau catalogue est un premier pas fondamental en ce sens.




Anders Petersen, Christian Caujolle, Photo Poche, Actes Sud, 144 p., 14, 50 euro.

Anders Peterson, né en Suède en 1944, peut être considéré comme un iconoclaste dans l'univers de la photographie contemporaine. Il se révèle comme un réaliste qui a poussé très loin les frontières du réel sont souvent transgressées dans ses clichés, qui paraissent avoir été posés pour obtenir cette sensation de déchéance et de misère. Il en est arrivé parfois à une forme dégradée de surréalisme.
Chez lui, le monstrueux et le grotesque tiennent une place de choix. Il n'a pas cru bon de se limiter à vision du monde qui soit véridique, mais a plutôt choisi des situations extrêmes. Tout cela est réalisé avec une grande maîtrise de ses moyens. Mais l'ensemble donne l'impression que le monde des vivants est un cirque monstrueux. Il a voulu tourner le dos à ses grands aînés en adoptant un parti pris radicalement opposé. Mais ce faisant, il a donné le jour à quelque chose d'artificiel, même si ses scènes ont bel et bien existé. Vous l''aurez compris, je ne suis pas un admirateur de l'oeuvre d'Anders Petersen. Mais il est intéressant de le découvrir car il représente une tendance de la nouvelle photographie.




Journal d'un fou, Gustave Flaubert, Editions Allia, 112 pages.

Il ne s'agit pas ici d'une réédition, mais d'une nouvelle édition faite à partir d'un manuscrit récemment réexhumé qui a été publié posthume en 1901. Il l'a écrit en 1838, il n'avait alors que dix-sept ans. Il y parle de sa prime jeunesse, de son premier grand amour pour Maria, une jeune femme mariée, et puis une autre aventure sentimentale qui n'a pas abouti.
Il a constellé ce texte de considérations divers sur le monde, sur son histoire (il déclare avoir été passionné par la Rome antique),aussi sur la mélancolie qu'il a pu éprouver et sur les sentiments qui l'ont traversé. C'est écrit volontairement lacunaire. C'est bien une oeuvre « adolescente », avec une recherche stylistique qui est notable, et aussi quelques maladresses qui sont des péchés de jeunesse. Mais on sent l'écrivain qui commence sa longue quête. C'est un petit ouvrage très plaisant à lire, d'autant plus qu'il y décline déjà des thèmes que l'on va retrouver dans son oeuvre future.Il doit toucher le coeur de tous et pas uniquement des flaubertiens inconditionnels.




Le Goût de la plage, Gérard de Cortanze, Mercure de France, 112 p., 9 euro.

Ce nouveau titre de cette collection attachante - « Le Goût de..», nous entraîne cette fois dans l'univers balnéaire, qui a vu le jour au cours du XIXe siècle. Gérard de Ciortane nous fait apprécier ces joies au bord de la mer en commençant par Marcel Proust. Suit alors un nombre vertigineux de grands auteurs du siècle dernier, comme Yuko Mishima, Francis Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway, Paul-Jean Toulet, je ne saurais les citer tous. Et c'est un régal ! Il n' a pas beaucoup tablé sur ses contemporains. Mais nous ne nous en plaindrons pas. C'est sans doute mieux ainsi. Il a su nous faire rêver et parfois nous surprendre avec cette riche anthologie.
Quoi attendre de plus ?
Gérard-Georges Lemaire
20-06-2024
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