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27-06-2024

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Ut musica poesis, Poésie visuelle et sonore au Moyen Âge et aujourd'hui, sous la direction de Nathalie Koble & Amandine Mussou, Editions Macula, 478 p., 42 euro.

C'est là une entreprise colossale. La poésie visuelle et sonore ont pris, au cours du siècle dernier et encore maintenant, une importance notable (et il faudrait aussi ajouter la notion de poésie concrète). Je placerai de côté qui touche à la période contemporaine, car une chronique suffirait à peine à rendre compte de ce volume foisonnant. Je dois dire que je ne le fais pas de gaieté de coeur, car j'ai tant aimé les performances, de Brion Gysin ou de Bernard Heidsieck, pour ne parler que de ces deux grands amis disparus. Cette introduction n'est pas toujours très claire. Trop de considérations se mêlent. Mais ce qu'elle a d'intéressant, c'est qu'elle montre que bon nombre de poètes ont été puiser dans les cultures anciennes et extra-européennes.
C'est le cas, au premier chef, d'Ezra Pound dans ses Cantos (il faut aussi rappeler son amour pour la poésie de la Renaissance, en particulier pour Cavalcanti). Mais c'est aussi le cas des poètes comme Henri Chopin, qui parlaient d'oeuvres de son époque en les qualifiant de fabliaux. C'est surprenant. Ce qui crée peut-être un peu de confusion dans cette longue introduction, c'est la question des technologies qui viennent s'imposer dans le discours des références anciennes.
Quoi qu'il en soit, c'est intéressant au plus haut chef. Il faut seulement s'armer de patience ! La partie la plus passionnante est celle de la culture médiévale. Tour commence par ces ouvrages conçus en forme de coeur (souvent des ouvrages religieux), qui sont véritablement une découverte. On les voit même figurer dans des peintures où le personnage représenté, en tout cas pour moi, qui ne suis pas médiéviste. Puis les auteurs abordent la question des calligrammes. C'est encore quelque chose de peu connu et qui nous émerveille car l'on prend la mesure de l'inventivité de ceux qui les ont composés. Cela ne retire rien à la beauté des poèmes de Guillaume Apollinaire, mais nous fait savoir que le Moyen Âge a été une période création absolument éblouissante. On est très surpris de la richesse et de la diversité des créations poétiques de ces époques désormais lointaines. On en connaît parfois le nom.
Ces trésors peu connus nous amènent à penser que nos contemporains sont revenus à des formes anciennes sans le plus souvent s'en douter ! Mais, soudain, on trouve une étude détaillée sur Michèle Métail, qui a été appréciée des milieux d'avant-garde de la fin du siècle dernier. Cela rend de nouveau la lecture de ce livre un peu labyrinthique. En fin de compte, ce livre est le fruit de recherches sérieuses et approfondies. Mais sa construction est problématique. Sans doute est-ce là une mine d'information passionnante sur la poésie visuelle et sonore. Dommage qu'il n'ait pas donner lieu à un autre mode de présentation.




L'Ecologie au musée, un après-midi au Louvre, Grégory Quenet, Editions Macula/ Louvre, 174 p., 22 euro.

Voilà un livre qui trouve son fondement dans la notion d'écologie mais qui, ce faisant aborde bien d'autres. En effet, le sujet principal est bien la relation de l'oeuvre d'art et de son emplacement initial, et ensuite, de son déplacement dans un autre lieu, principalement un musée. Il a choisi de traiter cette question en choisissant un petit nombre d'exemples.
Le premier concerne la grande statue équestre de Louis XIV, qui était placée au centre de la place des Victoires. Cette statue a malheureusement disparu, mais sont demeurées celles des captifs vaincus, qui ont fini par se retrouver dans la forêt de Fontainebleau (j'ai appris que cette forêt a été le premier lieu protégé au milieu du XIXe siècle. Pour de raison de préservation (il s'agit de bronzes) et aussi pour qu'un plus vaste public puisse les admirer, elles ont été transférées au musée du Louvre, dans la cour Puget. Ces grandes et belles oeuvres de Martin Desjardins ont forcément été enlevées à tout contexte, mais c'était déjà le cas précédemment. Cette question du déplacement des peintures et des sculptures se pose aussi pour se pose tout autant pour La Vierge avec le chancelier Rolin, chef-d'oeuvre de Jan Van Eyck, qui se trouvait dans une chapelle de l'église d'Autun. L'auteur en profite pour faire de nombreux détours sur la question du paysage dans cette peinture magnifique du XVe siècle. Le problème est qu'il conjugue plusieurs questionnements et, surtout, qu'il fait référence à de nombreux historiens d'art ayant traité ce sujet ou parlé de cet ouvrage. Cela rend la compréhension de son développement un peu difficile.
La partie qui m'a le plus intéressée est celle qui concerne une composition assez curieuse : « La Mélancolie du cochon ». Il s'agit d'un dessin exécuté en 1622 par Franz Post vers 1622. On y voit un petit cochon d'eau au bord d'une rivière. Ce genre de sujet ne peut que nous interroger. L'auteur explique assez bien dans quelles circonstances ce dessin a vu le jour, en particulier la conquête de terres en Amérique du Sud par les Hollandais et le conflit avec les Portugais. Je laisse le soin aux lecteurs de découvrir ce livre qui, en dépit des réserves que j'ai faites au début, demeure tout à fait intéressant pour pénétrer le sens de productions artistiques en les replaçant dans une perspective historique, géographique et politique.




Eric Vassal, Anaptyxes, collectif, Collection de l'atelier, 294 p., 39, 5O euro.

Ce fort catalogue a été pour moi une révélation. En effet, je ne connaissais que la peinture d'Eric Vassal, Son univers plastique est bien plus vaste Puisque je parle de peinture, je commencerai par ce sujet. La première série qui apparaît dans l'ouvrage est celle de l'Anamnèse. Elle date du tout début des années 2000. Elle est monochrome (jaune a u début) et le fruit d'un technique mixte allant des pigments à la caséine Parfois ces toiles donne l'impression d'avoir été tissées, parfois elle présente des formes, comme de petits reliefs incrustés. Il utilise alors une sorte de fil d'Ariane, mais qui autorise quelques variations. A la fin c'est la couleur rouge qui apparaît.
La série Puzzle qui vient après celle-en 2003, convoque deux autres techniques : la gravure et la sculpture. Finie la monochromie ! La suite suivante a été baptisée Puzzle. Elle a débuté en 2003. Elle se caractérise par des formes arrondies et irrégulières et une relative polychromie. De plus, elle utilise deux autres techniques : la gravure et la sculpture. Puis viennent les Graffiti en 2006 : là, sculpture et peinture ne font plus qu'un. Ceux-ci sont souvent de grande taille et forment des signes sur un mur ou surf le sol.
En feuilletant cet album, on se rend compte qu'Eric Vassal continuent certaines séries et qu'il les métamorphose. Et il en introduit de nouvelles, comme les Alvéoles et les Cubes. En sorte que son répertoire plastique n'a de laisse de se multiplier et, ce faisant, de devenir plus complexe et sophistiquée. D'exposition en exposition, il continu de à modifier les formes et les dispositions de ses Graffiti. Puis, en 2009, arrive une nouvelle configuration, celle des Flots, qui ont un aspect floral très stylisé. Mais il n'en poursuit pas moins la genèse des Graffiti, certains en hommage à Piranèse. Il imagine aussi le Décalage en 2006. Il a également réalisé des estampes, soit des gravures sur bois, soit des sérigraphies, qu'il conçoit souvent en relations avec ses autres créations. Là aussi, des suites s'imposent, comme celle des Graph. Mais ce qui est plus étonnant encore, ce sont ses installations. Il a conçu au début des années 2010, une importante collection de tapis de grande taille quoi ne sont pas de véritables tapis, mais des formes rectangulaires très allongées. Là, une nouvelle fois, il fait preuve d'une grande inventivité.
Par exemple, ses Spazi chiusi sont de curieuses installations qui ont une dimension picturale et où domine d'abord le noir et ensuite le rouge. Tout cela, dans un mouvement plutôt frénétique, le conduit aux Agnosis et à la série de Dagyde. Et le ne vous parle pas de la vidéo ! Il me faudrait plus d'espace pour rendre justice au travail esthétique d'Eric Vassal, qui se révèle capable de dépasser les codes de son époque sans jouer au tout-chamboule.




Feus II, Julien Blaine, 72 p., 12 euro.

2023, Julien Blaine, Les Presses du Réel, 288 p., 35 euro.


Passez deux années avec Julien Blaine, ce n'est pas une croisière de plaisance ! Nous pouvons dire qu'il est un artiste et un poète suractif ! Il ne cesse de consigner par écrit les pensées les plus ahurissantes qui soient. Et il a toujours ce ton gouailleur qui l'a depuis longtemps caractérisé. Il a des inventions sensationnelles, comme l'odeur des couleurs ! Ce n'est pas une autobiographie, mais le continuum d'une mutation du monde et des formes artistiques ou naturelles qui lui suggère son expérience quotidienne. Il est encore et toujours en mesure de traquer des images anamorphosées et des pensées qui le sont tout autant. C'est un mélange de réflexions sérieuses (sur la situation en Palestine, par exemple) ou sur des sujets franchement farfelus (par exemple « désuet». La seule chose que je lui reproche c'est d'affirmer « Je suis vieux » . Songe à ton illustre prédécesseur, Victor Hugo. Il n'a jamais été vieux. Cela pour rappeler à l'auteur de cette éphéméride qu'il a toujours l'allant et la force de pousser plus avant son formidable jeu de quilles caustique. Il introduit de temps à autre des textes et des images bucoliques qui rappelle que derrière son apparente violence dadaïste à la puissance dix, il y a un véritable amant de la poésie, qu'il juge presque impossible par les temps qui courent.
Je ne vous présenterai pas Julien Blaine, car j'ai déjà beaucoup parlé de lui dans cette chronique. Dans ce nouveau livre, il ne se livre pas à ses iconoclasties rabelaisiennes (et pas seulement), mais parle des personnes qu'il a pu rencontrer et apprécier. On retrouve dans ces pages Lawrence Ferlinghetti, le grand poète américain et le grand éditeur, Jean-Pierre Verheggen, Michel Butel, Jean-Jacques Viton. Bernard Noël, John Giorno, auquel il accorde une large place, mais en oubliant de dire que c'est moi qui l'a introduit et qui a été son traducteur officiel ! Je ne lui en veux pas car dans ces pages il a été surtout soucieux d'évoquer des figures disparues et qui ont marqué la poésie contemporaine. C'est une anthologie toute personnelle, qui ne semble pas avoir la mission d'être exhaustive, va-t-en-garde plein de surprises et aussi de talents.Mais c'est une pérégrination dans la sphère de cette a




Flagrants délits sur les Champs-Elysées, 1777-1791, préface d'Arlette Farge, postface de Laurent Turcot, « Le temps retrouvé », Mercure de France, 444 p., 11, 50 euro.

Remarquablement présenté par Arlette Farge et doté une postface très intéressante de Laurent Turcot, ce volume rassemble les écrits de service d'un garde suisse, Ferdinand de Federici, qui a été chargé de surveiller les lieux dépendant de la couronne. C'est un document de premier plan et, en même temps, un façon neuve de révéler à ses lectures au service du directeur des Bâtiments, d'Angivillier, pour maintenir l'ordre dans tous les points de Paris qui étaient du ressort de tous les lieux parisiens étant sous la responsabilité de la couronne. Les Champs-Elysées étaient le principal de ces lieux et nous découvrons qu'ils n'étaient pas seulement réservés aux seuls cavaliers : il y avait des débits de boissons, divers commerces et étaient très fréquentés par les citadins.Tous ces rapports font état de petits méfaits, de la lutte contre la prostitution, comme les relations homosexuelles et comportaient aussi un tâche importance : la protection des arbres et, en général, de toutes les plantes qui ornent l'avenue. C'est une grande surprise puisque l'écologie était alors une priorité en ville. C'est ainsi un tableau non seulement de la petite délinquance, mais aussi et surtout une représentation des moeurs avant la Révolution et aussi pendant ses premières années, période pendant laquelle le Suisse a conservé son poste. S'il doit faire respecter l'ordre, il peut montrer une certains mansuétude. Il est intéressant de voir comment était pensé le strict maintien de l'ordre, et que l'autorité s'appliquait aussi à la noblesse. Par exemple, les duels étaient sévèrement interdits et leurs auteurs étaient réprimés. Cela nous offre une image neuve de la vie sous l'Ancien Régime et aussi nous fait découvrir la vie quotidienne à Paris à la fin du XVIIIe siècle. C'est très plaisant à lire en dehors du fait que nous y ayons beaucoup à y apprendre.




Le Goût du vêtement, Evane Luna, « Le goût de... », Mercure de France, 128 p., 9 euro.

Je ne regrette qu'une chose ; c''est que la préface est bien trop courte. La question de la mode a toujours été présent depuis l'Antiquité et a donc marqué chaque étape de notre histoire. Cela étant dit, l'anthologie est tout à fait pertinente. Bien sûr la majorité des textes appartient au XIXe siècle (Balzac, Zola, Flaubert, Maupassant, etc.), mais on découvre néanmoins les différents aspects de cette question avec des textes bien choisi. On apprend dans l'une des notes dont fourmille le livre que Philippe le Bel a accordé un statut aux tailleurs en 1293. En 1588 apparaît la dénomination de « maître tailleur d'habits ». La confection des vêtements à longtemps été une affaire d'hommes, et ce n'est qu'en 1672 que les femmes ont pu avoir le droit de pratiquer cette profession et de créer des corporations. Tous ces textes nous font plonger dans l'aventure de la mode dans le passé et un encore plus dans le présent.




Voyage d'une femme autour du monde, Ida Pfeiffer, présenté et édité par Philippe Artières, « Le temps retrouve », Mercure de France, 530 p., 12, 50 euro.

Disons-le sans détour : ce livre est passionnant en tous points. Nous connaissons les grands périples entrepris par nos grands écrivains - Chateaubriand, Lamartine, Théophile Gautier, Guy de Maupassant, pour ne citer qu'eux, mais nous n'avons pas vu ce genre d'aventure écrite par une femme. Cette femme, Ida Pfeiffer (1797-1858), qui a entrepris deux voyages autour du monde, qui ont été publiés et qui ont connu un très grand succès.
Son fils a fait paraître posthume un séjour à Madagascar. Ce qui frappe dans sa longue relation de ce premier voyage qui devait d'abord la conduire jusqu'à la Terre Sainte, qu'elle a entrepris entre 1846 et 1848, l'a fait quitter Vienne pour rejoindre Hambourg et, de là, partir pour le Brésil. Elle est alors allée à Valparaiso, puis à Macao et cette incroyable circumnavigation se termine en Russie et, enfin, en Grèce. Ce qui la différentie de tous ses grands contemporains français, c'est qu'elle s'attache aux choses, aux à la végétation, aux animaux et bien entendu aux peuples, avec une incroyable minutie et une curiosité inépuisable. Elle ne regarde pas ces autres mondes comme étant d'une nature inférieure, mais une autre vision du monde, sans préjugés.
Sa manière d'écrire nous donne le sentiment d'accomplir ce voyage en sa compagnie et d'aller de découverte en découverte. Elle n'a pas le souci de la culture historique et littéraire de nos autours gyrovagues. Elle nous offre une description très détaillée de ce qu'elle voit au fur et à mesure qu'elle progresse dans son long parcours autour de notre globe. Mais elle n'est pas non plus ingénue, mais pose un oeil d'un ethnologue avant la lettre. Et elle n'a pas de sujets de prédilection. C'est sans aucun doute l'un des grands livres du XIXe siècle qui a permis de prendre connaissance des cultures, des moeurs, et aussi des paysages qu'elle a pu voir.
Gérard-Georges Lemaire
27-06-2024
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