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  [Visuel-News]
05-06-2025

La chronique de Pierre Corcos
Amour imaginé, amour réalisé

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Tween no 1 (classé) X, Guillaume Basquin, Tinbad, 120 p., 16 euro.

Il ne fait aucun doute que Guillaume Basquin est un disciple lointain de Raymond Roussel, de Dada, et surtout de Jean-Jacques Schuhl sur lequel il a écrit un essai important. Il fait incontestablement parti de ces auteurs qui ont décidé de ne pas suivre le droit fil de la littérature romanesque bien sage et rangée. Il est attiré par l'iconoclastie littéraire sans pourtant opter pour l'expérimentation pure et dure. Ici, point de récit dans le sens traditionnel, mais des digressions qui se déroulent comme une filastroca avec pour référence majeur le x qui est le symbole central de cette aventure scripturale. On croise de nombreux auteurs, comme James Joyce et Walter Benjamin, Schiller et Pascal, mais aussi des peintres comme Monet et d'illustres figures de l'histoire ancienne et moderne. Chacune de ces figures sont les absides et les coordonnées de cette prose insolente et déréglée qui ne semble obéir à aucune logique mais qui tisse une trame qui est celle de la connaissance qui est devenue un jeu déroutant.
Pour suivre l'auteur dans toutes ses digressions, il faut abandonner nos habitudes de lecture et aussi notre manière de raisonner. Le livre est conçu comme une longue séquence onirique où les mots servent à faire surgir des moments cruciaux de l'histoire passée. Guillaume Basquin nous entraîne dans une course folle qui doit nous conduire à vivre l'écriture telle une quête onirique où la mémoire abonde de références qui sont autant de pièges. Nous voilà pris au piège de ce que William S. Burroughs a nommé la Révolution électronique. Il s'agit en fait de nous faire comprendre que nous sommes en train de vivre dans un univers falsifié où tout est possible, surtout les fausses informations et les courants de pensée qui prêchent l'erreur et le mensonge.
En dépit de tout, nous le suivons parce que nous sommes de ceux qui n'ont pas peur d'affronter les régions marécageuses du sens. Toutes ces pages ont été préméditées pour qu'on s'égare dans un voyage hallucinatoire, mais aussi pour qu'on finisse par se retrouver dans la sphère de notre vérité, qui ne peut se formuler que dans ce dérangement des codes qui nous constituent. En somme, c'est un périple initiatique pour les êtres qui croient encore qu'il existe une littérature capable de contrecarrer les réseaux sociaux. Cette traversée périlleuse de notre culture se révèle une plongée dans ce qui s'affirme un retour à ce que nous possédons de plus précieux.
L'incohérence qui sous-tend ce texte n'est qu'un exercice pour retrouver tout ce qui a été renversé et saccagé. Il ne s'agit pas de retrouver la sagesse et le conformisme, mais plutôt de dépasser les conventions pour avoir la possibilité de nous rétablir dans notre identité qui a été perdue en chemin. Ce qui prend l'apparence d'une farce sans queue ni tête est en réalité la tentative de sauvegarder ce qui constitue notre essence primordiale et tous ceux qui ont encore, malgré le temps consumé, toucher nos coeurs et nos esprits. Si Tweet no1 nous déroute dans un premier temps, il nous réconcilie avec nous-même au fil des phrases qui s'enchaînent dans un joyeux désordre qui est la création d'une autre vision de ce que doit désormais être la quête littéraire.




Petite faim, Emma Catalane, Editions Unicité, 138 p.

Des romans d'amour, j'en ai lu une bonne centaine, écrits par de grands auteurs et par de moins grands, et encore plus par de très médiocres, et j'en lirai certainement encore mille si le destin le veut bien. Celui-ci est cependant bien particulier. Ce n'est pas tant l'histoire - une jeune femme tombe amoureuse d'un homme d'affaires vêtu de noir plus âgé qu'elle. Sans doute est-ce en partie un ouvrage autobiographique, mais bien malin celui qui aura le fin mot de l'histoire, car l'auteur est un pseudonyme, et puis peu nous chaud. L'histoire proprement dite peut se résumer en quelques lignes : l'homme est marié et père de famille. La jeune femme ne tient pas à défaire les liens qui le retiennent dans la cage de la vie familiale. Lui non plus n'éprouve pas l'envie de s'en échapper. Cela ne signifie en rien que cette aventure sentimentale lui soit indifférente ou secondaire. Loin s'en faut. Mais tout devient compliqué et est source de crises et de ruptures provisoires. Deux choses comptent ici plus que le reste.
D'abord l'écriture : la façon dont l'auteur relate cet amour qui, malgré tout, est profond et partagé. Ensuite, ce sont tous les interstices de cette affaire qui sont narrés de telle sorte qu'elle prend une dimension intense et parfois étrange. Il est d'ailleurs à souligner que le récit est accompagné de nombreuses notations en plus petits caractères qui sont là pour approfondir la trame sentimentale et les pensées qui traversent cette héroïne, qui connaît les joies et les souffrances d'une passion qui ne peut exister qu'en fonction de règles imposées par la réalité de la situation. Le dialogue entre les deux amants est surtout une méditation sur le désir, la connivence sensuelle, l'attirance et la peur de l'attirance et de ses conséquences, et ce que peut représenter l'amour sous ses formes les plus variées et les plus contradictoires. C'est ici la part féminine qui qui se confie et réagit aux mouvements du coeur et de l'esprit de l'homme. De plus, à un certain moment, s'insinue la figure diaphane d'un jeune homme dont on ne sait rien, mais qui joue néanmoins un rôle déterminant dans ce jeu d'échecs sentimental.
Nous avons donc affaire à une méditation sérieuse et troublante sur le coeur et le corps, qui sont à l'origine de troubles, de doutes, d'élans, d'abandons et de retenues. Le couple se défait (et encore, d'une manière qui laisse présager des rebondissements) une fois épuisés tous les possibles de cette emprise passionnelle. Sans doute, cette fiction n'a rien à faire avec De l'amour de Stendhal, mais est tout de même conçue comme une quête philosophique de ce qui anime les sens au point d'en perdre la raison. C'est un voyage vers Cythère qui donne à réfléchir sans pour autant prononcer une condamnation de ces liaisons dépassant tout ce qui constitue notre raison et notre être. Cette Emma Catane est à la fois intelligente et consciente des limites de l'intelligence dans tel vertige. Il est rare qu'une femme de lettres parvienne à restituer une relation de cette nature tout en étant en mesure d'en peser avec discernement les éléments.




Girargillissimevolementegirar, Concetto Tamburello, Accademia di Belle Arti di Agrigento, 200 p.

Concetto Tamburello est un artiste sicilien, né à Santo Stefano di Camestrà (non loin de Cefalù), qui est un petit village non loin de la mer, dont l'activité principale a été de longue date la céramique. Il a déjà publié un merveilleux livre sur le cimetière, unique en son genre, les tombes étant recouvertes de carreaux de céramique avec des dessins géométriques de toute beauté. Cette fois, il a voulu rendre hommage à ces hommes et à ces femmes qui savent encore modeler l'argile (on disait : fingere). Ces artisans d'une grande dextérité place l'argile sur leurs tours et en soutire des vases, des cratères, des pichets, des jarres, toutes sortes d'objets ayant une utilité pour le transport des liquides et des grains, mais aussi dans la simple vie domestique. Ils peuvent aussi avoir une fonction décorative, bien qu'ils soient d'une grande sobriété stylistique et monochrome pour l'essentiel. Le mot tourner vient du grec ancien tòrnos et du latin tòrnus. L'auteur avance que cette activité remonte au IVe millénaire avant notre ère en Mésopotamie. Dans l'Egypte ancienne, le dieu Ptah, créateur du cosmos, aurait créé l'homme et les animaux avec de la glaise. La même image se retrouve dans la Bible. On a retrouvé un pinax du VI-Ve siècle où le travail du tourneur est représenté. Le modelage de l'argile et la cuisson n'ont pas subi de métamorphoses importantes au fil des ans. Ce qui est exécuté à notre époque ne diffère guère de ce qui se faisait pendant l'antiquité. Seules des digressions formelles peuvent être discernées.
L'auteur a souhaité faire le portrait de ces créateurs qui s'emploient à prolonger cette très longue tradition. Il est curieux de noter que tous, quelque soit leur état d'esprit et leur manière de faire, ont une sorte de communauté dans la manière de produire des choses sur leurs tours. Il existe bien un style propre à ce lieu dans ce domaine. Mais cela ne signifie nullement qu'ils travaillent tous dans la même perspective. Disons qu'il y a un modus vivendi général et ensuite un modelage qui a un caractère individuel. Ce qui les rapproche tous est une certaine simplicité et aussi une grande rigueur dans ce qu'ils obtiennent sur leurs tours. C'est presque paradoxal. En nous les présentant en train de travailler, le peintre s'est attaché à conserver la mémoire de ces êtres qui sont à mi-chemin entre l'artisanat et les beaux-arts. C'est aussi l'expression de sa volonté d'aider à la préservation de cette technique qui a traversé l'histoire de notre continent, des vases grecs peints en rouge et en noir jusqu'aux inventions de Pablo Picasso à Vallauris. En France, plusieurs entreprises ont été fréquentées par des artistes connus et par des designers de talent. En Italie, je ne donnerai comme exemple qu'Albisola Marina sur la côte ligure où l'on a pu rencontrer Ager Jorn, Lucio Fontana et tant d'autres fortes personnalités de l'art moderne venus des quatre coins du monde. Avec Tullio d'Albisola, ami de F. T. Marinetti à la tête d'une de ces officines, était gage d'un grand ferment esthétique.
L'ouvrage de Concetto Tamburello est une splendeur et l'une des plus belles célébrations de cette pratique si vieille et pourtant encore appréciée de nos jours.
Gérard-Georges Lemaire
05-06-2025
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